Parallèle entre agriculture et nucléaire

Publié le

La science, telle qu'elle est pratiquée actuellement a un interdit : Le principe de surgénération. Officiellement il n'est pas censé exister et il est préférable de le taire (question de carrière) 

Si jamais, il vous venait l’idée d’évoquer le sujet, une armada de Trolls s ’improvisant prix Nobel s’activeront immédiatement pour tourner en ridicule vos propos.

Sur les réseaux sociaux, ils pullulent.

Le Trollisme c’est une pathologie étrange une sorte de complexe d’infériorité exprimé avec le syndrome de Gilles de La Tourette.

Ce qui donne ce genre de truc.

 « T’imagine produire beaucoup à partir de rien, mais si c'était possible il y a longtemps que cela aurait été fait, tu te prends pour qui !??? Si t’avais bossé tes cours de physique à l’école tu saurais que c’est pas possible. Pauvre clown !!! » et tout de suite derrière, les j’aime et commentaires débiles affluent pour en rajouter une couche.

Ce qui laisse à penser que le Trollisme est une pathologie contagieuse, pour laquelle il n’existe malheureusement pas de traitement.

Quand pour le prix d’un, vous en avez 10, ça ne serait-ce pas déjà en soit un principe de surgénération de la connerie ?

Toute notre société repose sur le modèle du parasitisme agressif qui consomme de manière (qui nous apparait comme irraisonnée) l’abondance du milieu où il vit, jusqu’à détruire le système de régénération de son hôte nécessaire à sa survie. Forcément à terme, ce modèle est fatal pour l’hôte. Pour ce qui est du parasite, sa survie dépendra de sa capacité à pouvoir se développer suffisamment pour avoir les moyens de trouver une prochaine victime.

Au niveau de notre société, ce modèle est matérialisé par « le marché » et repose sur un principe simple.

Pour grossir il demande toujours plus, la production de la substance qui le nourrit se raréfie, c'est ce qui augmente sa valeur commerciale, c'est par cette compétition à pouvoir se l’approprier de n’importe quelle façon, qu’il stimule le système à devoir fonctionner en marche forcée afin que sa croissance soit assurée.

La logique de ce parasite (l’idéologie de marché) n’est pas la santé de son hôte (la planète), mais sa propre croissance, c’est son seul et unique objectif, une fois qu’il sera arrivé à maturité, il est dans la croyance qu’il sera censé avoir la capacité d’aller voir ailleurs, peu lui importe la santé de son hôte.

Envisager la perspective d’un système de surgénération, cela effondrerait toute sa conception d’être, car son objectif n’est pas de se sédentariser mais de voyager pour proliférer partout, ainsi il refuse d’évoluer vers le commensalisme et encore moins vers la symbiose, c’est un mode de fonctionnement primaire et opportuniste.

 La maîtrise de l’énergie quelle que soit sa forme, au travers des millénaires a toujours été le nerf de la guerre, c’est toujours elle qui a déterminé celui qui règnerait sur les autres, si elle devient gratuite renouvelable à souhait et accessible à tous, c’est une catastrophe !!! Enfin, pour ceux à qui profite le crime et dont la logique par nature se résume à : « Heureusement que certains ont pris soin de polluer l’eau et de disséminer cette pollution de manière sauvage pour éviter que le système s'effondre et nous oblige à évoluer »

Le moyen peut nous apparaître absurde, mais il stimule le marché qui engrange bénéfices et dépendance au modèle imposé, mais que faire devant un produit que même l’abondance ne suffit plus à limiter puisque son potentiel est infini.

Ce modèle n’est pas compatible avec la nature profonde de ceux qui se nourrissent du marché !!!

Si on se donne la peine de changer l'approche des choses et de réfléchir un peu, il apparaît un principe de surgénération évident que l'homme utilise depuis la nuit des temps, sans vraiment s'en rendre compte parce qu'il ne le nomme pas comme cela, d’ailleurs personne ne le présente comme tel.

Ce principe c'est l'agriculture.

En effet si vous cultivez un terrain avec une surface raisonnée, vous pouvez d'une part vous nourrir et dans le même temps produire assez de graines pour replanter l'année suivante. " C'est gratuit, moyennant de l'huile de coude, de bonnes connaissances, de l'observation, mais surtout respecter la nature, et ses cycles.

L’agriculture est la science qui permet d’étendre les propriétés de la plante à l’échelle de nos propres besoins nutritionnels. C’est une technique qui s’inscrit dans la fractalité naturelle évolutive.

Eh oui, les plantes sont des surgénérateurs naturels biologiques. (1 grain donne un épi qui lui-même produit 40 à 50 grains).

Comment peut-on fermer les yeux sur cela, mais surtout comment sommes-nous conditionnés à passer tous les jours à coté de cette réalité sans y faire attention ?

Sous l'action d'une idéologie mercantile, l'homme a rendu stérile ce bien précieux pour mieux vendre ses graines OGM qui ne poussent qu'avec son engrais spécifique et ses produits de traitement, dans un souci de profit qu’il appellera rendement, pour entretenir la confusion avec le rendement des récoltes (et ça marche à tous les coups).

Son plan d’action est de diffuser le plus largement possible ses OGM, et rendre à terme normal le fait de devoir acheter ses graines, au point que le principe de surgénération disparaisse des esprits, celui-ci devant être assimilé comme inadapté pour tenir des rendements suffisants afin de satisfaire les besoins d’une population en croissance exponentielle et des phénomènes associés au réchauffement climatique, le coupable idéal qui pour le coup, a bon dos pour s’exonérer de toute responsabilité dans le phénomène de dégradation du biotope, de pollution, etc ….

Un moyen d’expropriation des bénéfices, pour les nationaliser ses conséquences au motif de notre prétendue culpabilité collective inhérente à notre modèle social.

La population alors fatalise et entre dans la croyance de la dépendance à cette solution induite et suggestive qui se présente comme unique, scientifique, bien celle-ci n’est en fait qu’une escroquerie organisée.

Quand on entend parler du nucléaire aujourd’hui nous entendons exactement la même chose, « Si on a plus de nucléaire on va s’éclairer à la bougie !!! »

Est-il bon de rappeler que l’électricité est apparue bien avant le nucléaire et que tout le monde avait de l’électricité, ceci les plus jeunes ne l’ont pas connu, je ne suis pas sûr qu’ils en aient bien conscience, ils sont nés avec le nucléaire, les OGM, l’ordinateur et « des informations en continu » sous contrôle des lobbies.

Pour eux c’est normal et la règle à suivre si l’on veut sauver la planète, cette « science » est la solution, les sondages d’opinions le prouvent.

Voilà comment sur quatre à cinq générations cette mémoire sera effacée si elle n’est pas entretenue, Heureusement, il y a pas mal de consciences qui s’éveillent sur le sujet, comprenant que la contrepartie de toute croyance est d’induire le doute, surtout lorsque l’on constate que ce qui est, ne s’inscrit pas à ce que l’on nous impose de croire.

Croire ou ne pas croire, (c’est-à-dire croire qu’il n’est pas utile d’y croire), est un processus à sens unique basé sur l’acceptation du concept de croyance. Il repose sur notre capacité d’autocensure à notre devoir d’introspection par une observation objective, libre de tout sens d’interprétation soumis à influence hors du cadre prédéfini.

Le but de toute croyance, c’est de transformer cette capacité critique en incapacité servile.

Si les choses sont, se poser la question d’y croire ou pas, est totalement absurde, c’est un concept masturbatoire qui vise à blablater sur leurs apparences « marketing » mais pas sur leurs natures profondes. « C’est comme se décider à acheter un produit en fonction de la couleur de l’emballage et de la pub qui le vante », ce qui fait le succès du produit c’est la qualité de persuasion du vendeur.

En s'octroyant le droit de s'approprier les espèces naturelles au nom du décryptage de leur code génétique pour obtenir l'exclusivité des droits sur une plante qu'il prétend avoir optimisée par manipulation génétique, l'homme s'offre la possibilité de devenir le créateur d'une nouvelle dame nature, qu'il croit modeler à sa main comme il l'entend, car il lui devient possible d'en faire une pâle copie une sorte réplication en série indifférenciée, (ce qui est contre nature, sur un arbre pas un fruit est identique à l’autre ) ceci étant le second moyen après la raréfaction de faire beaucoup de profits, sauf que celle-ci n'est pas sans conséquence.

Le problème est que cette agriculture-là est dévastatrice, elle tue la faune, la flore de tout le biotope indispensable à la fertilité des sols.

La fertilité naturelle des sols s'effondrant, les engrais chimiques en guise de produits de substitution deviennent indispensables sinon les rendements (agricole) de production dont désastreux.

Et plus les sols s'appauvrissent plus l'on utilisera d'engrais, donc aggravation de la pollution qui se répand partout via les nappes phréatiques, les airs, le bétail qui consomme l'herbage, et les productions elles-mêmes de fruits et légumes et céréales, tout ceci finissant dans nos assiettes.

Pour finir et dernier point ces plantes sont stériles, elles ne peuvent pas se reproduire naturellement, donc les agriculteurs sont pris au piège des semenciers.

Ils ne peuvent pas sortir de ce système, car pour reconstituer un sol fertile il faut plusieurs années, ce qu'ils ne peuvent pas se permettre, et d’autre part le monde risquerait une pénurie alimentaire dévastatrice.

De toute façon le gouvernement leur interdira :

A) d'utiliser des semences qui ne sont pas inscrites au catalogue des semenciers

B) de produire eux-mêmes leurs propres semences naturelles.

C'est ainsi que tout ce système de profit absurde et sans garde fous induit un risque systémique dont les effets sanitaires se mesurent sur, les populations, les économies, sans parler de la nature, qui en à peine 50 ans, n'a plus rien à voir, et ce de mémoire de vivant.

Cette accumulation génère un risque systémique, nous sommes dans la situation de l’homme ivre qui dit « Je ne comprends pas moins je bois plus je suis saoul ».

Tout système qui vise à générer un profit temporel et contextuel « contre nature », se voit obligé de déréguler le processus naturel, en occultant les données essentielles qui sont autant d’alerte à la raison.

La meilleure des façons, est d’éviter de se voir poser toutes les questions qui les évoquent, c’est pourquoi il est si important de greffer certaines croyances dans les esprits.

Fabriquer des OSM, des organismes spirituellement modifiés, incapables de se poser les bonnes questions.

La croyance est le catalyseur de faux débats qui ne peuvent être que stériles, car elle enferme l’esprit dans un plan relatif exclusivement matériel, qui occulte toute approche d’une considération des questions dans l’absolu.

La croyance est la prison de l’esprit.

Le matraquage médiatique, les éléments de langage utilisés, la bienséance imposée par des approches pseudo-scientifiques, etc... en sont les briques.

Le risque systémique n’est que l’addition de toutes ces dérives rendues possibles par ce jeu de dupe, avec pour principale conséquence, un effet domino dévastateur inéluctable.

Si l'on transfère la méthode appliquée à l'agriculture au mode production d'énergie nucléaire, l'on obtient un parallèle surprenant.

C'est exactement le même schéma et exactement pour la même et unique raison.

Quand il sera considéré que le principe de surgénération est non seulement possible mais de plus évident, peut être que l'on abordera le problème de la production d'électricité différemment et que l'on commencera à se poser les vraies et bonnes questions, plutôt que de continuer de noyer le poisson par des effets de Com en guise de lavage de cerveau.

La vérité n’est pas ailleurs que sous votre nez, si vous ne la voyez pas prenez un peu de distance avec les versions officielle pré-pensées.

Lorsque l’on vous parle de rendement, que ce soit dans l’agriculture ou dans le nucléaire prenez vraiment le temps de regarder de quoi et de comment l’on vous en parle.

Posez-vous les questions que vous inspire votre bien le plus précieux, votre intuition qui guide votre bon sens.

Croyez bien que si la définition « de bon sens » est objet de débat, c’est tout sauf du bon sens, et cela n’a rien d’un hasard, mais c’est une volonté délibérée de dénaturer cette aptitude naturelle commune pour la conformer aux positions officielles.

Le bon sens n’est qu’une déduction logique à partir d’évidences.

Si quelqu’un met en doute votre appréciation de bon sens, en jouant de son statut pour vous écraser, dites-vous bien que ce n’est pas votre bon sens qui doit être mis en doute, mais les prétendus éléments qu’il vous présente comme évidences qui ne sont pas sincères.

 

 

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article